Experts en : Études des medias
ALAIN, Hubert
Doctorant
CARON, André H.
Professeur émérite
- Études des medias
- Médias
- Imagerie politico-culturelle des contenus télévisuels
- Culture populaire
- Médias et culture populaire
- Technologies de l'information et de la communication
- Culture numérique
- Culture visuelle
- Industries culturelles
- Politiques culturelles
- Sociologie de la culture
- Politiques de radiodiffusion
Spécialiste des médias de masse et des technologies nouvelles et émergentes, mes intérêts de recherches s’intéressent entre autres à étudier dans son ensemble comment les technologies et les gens co-évoluent dans un vaste réseau hybride. Mes travaux et mes écrits ont abordé « la culture mobile » au quotidien, l’effet cascade et l’interrelation des technologies et les nouveaux rites de communication. Mes autres recherches concernent les politiques de radiodiffusion, les appropriations politiques et culturelles des médias et la recherche formative et sommative dans le secteur des jeunes et des médias.
Champs d'expertise
- Recherche sur la diffusion et l'appropriation des technologies émergentes et interactives dans divers milieux : sociaux, culturels, politiques, économiques, scientifiques.
- Recherche sur la convergence et l’expansion rapide des télécommunications et des technologies de l’information
- Recherche sur la présence et le rôle des médias chez les jeunes
- Analyse de l'imagerie politico-culturelle des contenus télévisuels
- Analyse des politiques de radiodiffusion
- Technologies de l’information et de la communication
DE MAEYER, Juliette
Professeure agrégée
- Journalisme
- Médias
- Études des medias
- Histoire des médias
- Sociologie du journalisme
- Méthodes numériques
- Technologies de l'information et de la communication
Ma recherche porte sur le journalisme et les médias, et plus je m'intéresse plus particulièrement à la matérialité et l'épistémologie du journalisme, souvent avec des approches historiques.
FRENETTE, Micheline
Professeure honoraire
Je m’intéresse à l’influence des médias traditionnels comme la télévision dans la perspective de leur convergence avec les plateformes interactives telles que l’Internet et les réseaux sociaux. J’étudie comment ces moyens de communication peuvent être exploités avec profit pour des campagnes sociales dont le but est de promouvoir la santé ou de favoriser l’engagement politique. Je préconise une approche qui s’appuie sur une double filiation théorique (communication et les autres sciences sociales) et une diversité méthodologique (autant quantitative que qualitative). Je me penche également sur les différences culturelles dans la manière dont les jeunes adultes s’approprient les technologies de communication.
GOLLMITZER, Mirjam
Professeure agrégée
I am an Associate Professor at the department of communication at Université de Montréal. I use critical approaches to study media and journalism in their pollitical-economic context. My research projects examine the professional identities of part-time journalists, the precariousness of journalism interns, the care deficits and care practices among freelance journalists during the global pandemic, and journalism cooperatives as alternative media organizations (in terms of news discourse, organizational structure, working conditions, etc.).
The undergraduate and graduate courses I teach are in media studies, on the cultural industries, and on journalism and neoliberalism. I supervise graduate students with these or related research interests. I am also the co-founder and co-director of the journalism research lab at Université de Montréal, Atelier -30-. In the past, I have worked as a reporter and news editor in Germany and as a policy researcher for the Canadian Conference of the Arts.
En français :
Je suis professeure agrégée au département de communication à l'Université de Montréal. J'explore les médias et le journalisme d'une perspective critique. Je m'intéresse particulièrement à la précarité des journalistes, aux liens entre le journalisme et le néolibéralisme, et aux coopératives de journalisme en tant qu'organisations alternatives. Je donne des cours et des séminaires en études des médias, sur les industries créatives, et sur les liens entre le journalisme et le néolibéralisme.
Comme directrice de recherche, je dirige des travaux en études de journalisme et en études des médias. Je suis également co-fondatrice et co-directrice du labo de recherche sur le journalisme à l'UdeM (Atelier -30-). Dans ma vie professionnelle précédente, j'ai effectué des stages en journalisme en Allemagne et j'ai travaillé comme journaliste et rédactrice dans ce pays. De plus, j'ai rédigé des rapports de recherche sur les politiques gouvernementales pour les travailleurs culturels pour la Conférence canadienne des arts.
GRONDIN, David
Chercheur, Professeur titulaire
- Études sur la surveillance
- Guerre dans les médias
- Communication politique
- Sécurité frontalière et douanes
- États-Unis
- Sécurité internationale
- Études américaines
- Études de la mobilité
- Communication internationale
- Gestion des risques
- Frontières
- Mondialisation dans les médias
- Culture numérique
- Mobilités
- Mobilité
- Gouvernementalité algorithmique
- Nouvelles technologies
- Intelligence artificielle
- Culture populaire
- Gouvernance mondiale
- Empire et impérialisme
- Études culturelles
- Culture visuelle
- Études des medias
- Relations internationales
- Mouvements sociaux
- Migration
- Politique américaine
- Amérique du Nord
- Canada
- Époque contemporaine
Je me suis joint au département en 2017, après onze années à œuvrer comme professeur en relations internationales et études états-uniennes à l'École d'Études politiques de l'Université d'Ottawa. Je suis heureux de voir mes inclinations interdisciplinaires trouver un nouveau terrain via la communication et les études médiatiques et d’avoir pu amorcer un nouveau chapitre en enseignant la communication internationale, la communication politique et médiatique et la culture populaire, avec un accent sur la guerre, les infrastructures, la mobilité, le pouvoir et les médias. Je suis aussi en charge des programmes facultaires d’études supérieures en études internationales, où j’enseigne le cours sur le rôle des États-Unis dans le monde : d’hier à aujourd’hui ou le cours obligatoire sur les enjeux et débats contemporains en études internationales.
À travers la communication, nous sommes, consciemment ou inconsciemment en relation avec le monde, et je m’intéresse notamment à notre relation avec la gouvernance numérique – et par extension, aux médias numériques. Je porte par conséquent une attention particulière aux infrastructures de communication, ce qui m’amène à étudier les données et les nouvelles formes de contrôle que la société de surveillance met en action à l'ère numérique. En tant que médias numériques, les algorithmes deviennent alors un sujet de prédilection pour mieux saisir à la fois les infrastructures médiatiques de la communication qu’ils incarnent que ce qu’ils rendent possible comme technologies médiatiques gouvernant des sujets et contrôlant des espaces.
Mon travail actuel se concentre sur les technologies de contrôle des mobilités (circulation des personnes, des capitaux, des marchandises et des données numériques) participant à la gestion des risques de sécurité dans le contexte numérique du big data, notamment en ce qui a trait aux frontières, la surveillance et la gouvernance. Ainsi, mes recherches et mon enseignement en communication internationale et politique portent sur le rôle des infrastructures sociotechniques, des dynamiques de pouvoir, des acteurs, des plateformes numériques, des algorithmes, de l'intelligence artificielle et des mécanismes et modalités politiques que mobilisent les formes contemporaines de la guerre, de la sécurité et du policing dans le cadre nord-américain. Enfin, je garde une veille constante de recherche sur la préparation à la guerre par les États-Unis, avec tout ce que cela implique au niveau du pouvoir de l’imagination, des imaginaires sécuritaires et sociotechniques, des pratiques d’innovation et de recherche pour le futur de la guerre et du poids identitaire de la technologie de pointe pour l’appareil de sécurité nationale américain.
De façon plus large, mes recherches se découplent en trois volets: 1) la surveillance des mobilités et la sécurité algorithmique, la guerre (et ses enjeux de désinformation et d’information) et les infrastructures technopolitiques gouvernant les espaces frontaliers nord-américains ; 2) le rapport entre guerre et société, la militarisation de la vie quotidienne et la culture du national security state aux États-Unis ; et 3) la culture populaire et les cultures médiatiques états-uniennes, avec un accent sur la guerre et la surveillance au petit et au grand écran.
En communication et en études internationales, mon ouverture interdisciplinaire et ma perspective indisciplinée qui puise dans les champs des relations internationales, de la géographie et de l’anthropologie politique, de la sociologie politique de l’international, des études américaines, des études de sécurité et des études en sciences, technologies et société s’avèrent bien servies.
À l’Université de Montréal, je partage mon temps de recherche entre et le Centre d’études et de recherches internationales (CÉRIUM), le Laboratoire Culture populaire, connaissance et critique (CPCC), le Laboratoire de recherche sur la technologie, l’activisme et la sécurité (LarTAS) et le Centre international de criminologie comparée (CICC). Je suis également chercheur associé à l’Observatoire international sur les impacts sociétaux de l’intelligence artificielle et du numérique (OBVIA) et chercheur associé à la Chaire de recherche du Canada sur la gouvernance sécuritaire des corps, la mobilité et les frontières (GSCMF) de l'UQAM.
KAMINSKA, Aleksandra
Professeure agrégée
- Études des medias
- Arts médiatiques
- Matérialités et infrastructures
- Culture du faire
- Recherche-création
- Théories médiatiques
- Histoire des médias
- Esthétiques de la communication
- Technologies numériques
- Culture numérique
Je travaille principalement à l’intersection des études médiatiques (media studies), des cultures matérielles et visuelles, et de l’histoire de la technologie. Dans mes recherches actuelles je m'interesse aux histoires, technologies et pratiques de l’imprimé et du papier. Mon prochain livre, High-Tech Paper: Security Printing and the Aesthetics of Trust, est une étude historique et théorique sur l’impression de sécurité et de l’esthétique des documents qui explorent les protocoles matériels de l’identificaiton et de l’authentification. Je suis co-fondatrice de Paperology, un groupe de lecture et d'activité qui se penche sur le papier.
Je co-dirige également La sociabilité du sommeil, un projet de recherche-création interdisciplinaire qui explore les épistémologies et les équités du sommeil. Notre expostion—InSomnolence—a eu lieu durant l'été 2023.
Je suis co-fondatrice du labo en études médiatiques Artefact, ainsi que du Bricolab.
MARTIN, Claude
Professeur honoraire
Mes recherches ont porté ou portent sur l’économie des industries culturelles, les statistiques des domaines de la culture et des communications, les produits culturels à succès tels les best-sellers, l’histoire des médias, l’enregistrement sonore, la programmation télévisuelle, la publicité. J'ai ecollaboré régulièrement aux travaux de l’Observatoire de la culture et des communications du Québec.
THIBAULT, Ghislain
Professeur agrégé
- Archéologie des médias
- Communautés virtuelles
- Culture populaire
- Culture numérique
- Études des medias
- Histoire des médias
- Matérialités et infrastructures
- Réseaux sociaux
- Technologies numériques
- Théories médiatiques
- Théories de la communication
Ghislain Thibault est professeur agrégé au Département de communication de l’Université de Montréal (Canada) où il enseigne les études médiatiques et l’histoire des médias. Il a complété son doctorat à l’Université de Montréal en 2010 avant de poursuivre ses études postdoctorales du Département d’histoire des sciences de Harvard. Ses recherches sur les imaginaires des technologies sans fil, sur le rôle du concept de machine dans les théories médiatiques et sur l’histoire des théories sur les médias ont fait l’objet de diverses publications, notamment dans des revues telles que Configurations, VIEW, Canadian Literature, Canadian Journal of Communication et Intermédialités. Il dirige actuellement un projet de recherche financé par le Conseil de recherche en sciences humaines (2021-2025) portant sur l’histoire de la publicité aérienne et qui se penche sur les infrastructures matérielles, les modèles théoriques et la réception populaire de différents moyens de communication de masse qui utilisent le ciel comme medium, cadre ou écran.
Ghislain Thibault is Associate Professor in the Department of Communication at the Université de Montréal (Canada), where he teaches media studies and media history. He completed his doctorate at the Université de Montréal in 2010 before pursuing postdoctoral studies at Harvard's Department of the History of Science. His research on the imaginaries of wireless technologies, the role of the concept of the machine in media theories and the history of media theories has been published in journals such as Configurations, VIEW, Canadian Literature, Canadian Journal of Communication and Intermédialités. He is currently directing a Social Sciences and Humanities Research Council-funded research project and book project called "Look up ! A Media History of Aerial Advertising" (2021-2025) on the history of aerial advertising, examining the material infrastructures, theoretical models and popular reception of various means of mass communication that use the sky as medium, frame or screen.